De la confidence à la déclaration d’un désir violent et absolu du besoin d’être, deux olibrius voient le jour et viennent vous tenir compagnie.

Les silhouettes se dessinent, les rôles se précisent, elle sera la voix, il sera l’instrument.

Une complicité joyeuse et enivrante se répand et vous submerge, sorte de parenthèse révoltée et révoltante à l’encontre de la morosité ambiante qui s’affaire à griser notre vie !

La femme et le mot deviendront le cœur, l’essence même de ce tour de chant conté.

La féminité implose, explose sous toutes ses formes, revêtant mille visages monstrueux, sensuels et animaux, bien souvent décadents et désaxés.

Leur humour et leur folie donnent au propos une forme originale et incongrue, les disciplines se croisent, les genres se confondent et la technicité s’y déploie pour mieux vous séduire.

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Extraits

Je voudrais qu’un homme se tue pour moi ça f’rait étrange et romantique, avec un ptit brin d’pathétique

Je voudrais qu’un homme se tue pour moi

J’voudrais qu’il meurt les bras en croix, criant mon nom d’vant ma photo ou bien qu’il s’tue dans son auto au lieu de mourir bêtement de n’importe quoi

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Toi mon petit cœur, mon petit monde, mon petit vieux

Je te tire de par l’orteil je te sors de notre lit

Je te dis : toi suffit !, ta grise mine moi j’en ai soupé !

Allez, ce soir tu te fais beau, ce soir je t’emmène danser !